Elle parle comme un fleuve _ une archéologie des rives, ist eine getanzte Lesung, welche auf dem gleichnamigen Buch, welches die Autorin A.G. Anne und die Tänzerin G.A. Grünig co-geschrieben haben, basiert. Die getanzte Lesung wird am 29. November 2024 im Queerfeministischen Raum, Reitschule Bern, uraufgeführt.
Durch den tanzenden Körper und die Erzählung werden hinterlassene Spuren von Generationen von Frauen+ verarbeitet, eine Reflexionsachse rund um die Bedingungen der Frauen+ und ihrer Kämpfe in der Gesellschaft.
The co-authors wish to share a work that involves both WRITING - Handcrafting, the gesture of the hand-, emBODYment - corporeality or CORPS-porosity -, and TRACES.
« Nous nous sommes rencontré.es en dansant. C’était à Paris, un printemps, composition instantanée. Je ne savais pas que je pouvais danser, jamais fait ça, toujours boxeuse à l’intérieur. Nous nous sommes connues parce que je cherchais quelque chose, et à travers les mouvements de son corps, elle échangeait quelques réponses. Mes gestes, mon vocabulaire, parlaient de blessure, et elle avait une longueur d’avance de guérison. Elle m’a présenté sa grand-mère, une lucernoise avec le français pour langue maternelle, et le suisse-allemand paternel. Une femme née en 1930, investie dans la
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Elle parle comme un fleuve _ une archéologie des rives, ist eine getanzte Lesung, welche auf dem gleichnamigen Buch, welches die Autorin A.G. Anne und die Tänzerin G.A. Grünig co-geschrieben haben, basiert. Die getanzte Lesung wird am 29. November 2024 im Queerfeministischen Raum, Reitschule Bern, uraufgeführt.
Durch den tanzenden Körper und die Erzählung werden hinterlassene Spuren von Generationen von Frauen+ verarbeitet, eine Reflexionsachse rund um die Bedingungen der Frauen+ und ihrer Kämpfe in der Gesellschaft.
The co-authors wish to share a work that involves both WRITING - Handcrafting, the gesture of the hand-, emBODYment - corporeality or CORPS-porosity -, and TRACES.
« Nous nous sommes rencontré.es en dansant. C’était à Paris, un printemps, composition instantanée. Je ne savais pas que je pouvais danser, jamais fait ça, toujours boxeuse à l’intérieur. Nous nous sommes connues parce que je cherchais quelque chose, et à travers les mouvements de son corps, elle échangeait quelques réponses. Mes gestes, mon vocabulaire, parlaient de blessure, et elle avait une longueur d’avance de guérison. Elle m’a présenté sa grand-mère, une lucernoise avec le français pour langue maternelle, et le suisse-allemand paternel. Une femme née en 1930, investie dans la lutte pour les droits des femmes+, et qui dans son nom éparpille deux trois symboles: M pour Mot-héros, I pour incroyable, E pour engagée, T pour ♀, T pour trans*, E pour elles. Andrea m’a regardé, sa vision remontait le courant jusqu’à mes aïeules absentes. »
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